Entre un Prélude et un Final musicaux aux cordes frottées, une manière de récit à la fois multiforme et cohérente prend corps au fil de différentes scènes de vie et de portraits. Le tout bercé de ballades, bossa-nova et autres rythmes.

Un zeste de mystique hispano-orientalisante, un soupçon pop ou une pincée de bohème chagrine permettent de peaufiner les climats de chaque titre. Soulignant judicieusement une humeur maussade, la douleur d'un état d'âme, les inflexions d'un sentiment, une courbe voluptueuse ou l'emballement d'une crise cardiaque.(Olivier Horner/Chorus n63)

Six ans après Ilo Veyou, l'artiste est de retour avec un disque profondément contemporain mais aux racines si anciennes qu'il devient l'incarnation sonore de l'intemporalité. Onze chansons qui soignent et possèdent la vertu de calmer les esprits. Mais sans ignorer le terrain exutoire dans lequel elles ont été aussi pensées : celui de la ferveur collective des grands bals de danse traditionnelle.

L'album live de la trilogie qui clôt leur aventure commune ! 150.900 kilomètres en trois ans de tournée. Quatre fois le tour du Monde. Les membres du groupe ont commencé dans leurs chambres en 2011. Et puis, presque subitement, le projet s'est transformé en parcours initiatique, en quête de découverte d'eux-mêmes et des autres. Avec, comme carburant majeur, les concerts. Ils voulaient laisser une trace de ce voyage, une image de ce qu'a été Fauve sur scène et en tournée. C'est un album live mais aussi un document : titres enregistrés en concert, extraits d'interviews, des témoignages pris sur le vif...

Ce quinzième album studio de Maxime Le Forestier a été réalisé par Patrice Renson. On y retrouve plusieurs collaborations parmi lesquelles celles avec Julien Clerc, Jacques Weber, Claude Lemesle, Manu Galvin sans oublier le featuring de Camille sur un titre.

Avec Lyon pour cadre (dessiné superbement par Laurence Baldetti sur le livret et la pochette), ce bel album n'est qu'histoire d'amour. Les personnages sont les artistes eux-mêmes, soit Noah Lagoutte et Frédéric Bobin. On retiendra en particulier 'La Bibliothèque' où, chacun à leur tour et à leur façon, nos tourtereaux se remémorent la première approche, la prime drague : croustillant !

A l'aube de ses 10 ans de carrière il revient avec un album évènement, plus intense et introspectif, co-écrit avec Paul Ecole (Calogero, Oxmo Puccino... ).

Enregistré dans le célèbre studio ICP à Bruxelles, l'album est co-réalisé par Evert Verhees, avec qui elle avait déjà enregistré les grands disques Amis ou ennemis et L'un pour l'autre.

4 ans séparent "D'une tonne à un tout petit poids" de son prédécesseur "Clan des Miros". Ce nouvel album, c'est l'occasion pour son auteur-compositeur de promener de nouveau son talent en toute liberté, de la chanson à la pop, du folk à la pompe qui lui est chère, sans jamais perdre de son homogénéité. Au fil des dix titres, il cisèle des histoires faites d'inattendu ("La Boîte"), évoque des rencontres imprévues ("Amoureux d'une flic", "J'habitais là") ou grave dans l'écorce du vécu des motifs très personnels ("Appelle quand tu te réveilles", le 1er single, "Les Secrets chuchotés")... Pour mettre en boîte ce catalogue d'émotions, Renan a fait appel au Suédois Peter von Poelh, orfèvre des pulsions organiques et des humeurs entrelacées.