Un jour, un meunier qui avait une fille d'une grande beauté raconta au roi qu'elle avait le pouvoir, en filant la paille, de la transformer en or.
Le roi fournit alors à la jeune femme des bobines, un rouet et de la paille. Grâce à l'intervention d'un drôle de petit personnage à qui elle céda son collier en échange, elle réussit une première fois cette épreuve.
Mais le roi lui demanda de recommencer la même chose...

Deux empereurs Takechi et Chikao se font la guerre depuis toujours. Mais un jour, le premier enlève Aïko, la fille du second, puis lui fait boire le « contenu mielleux et très sucré » d’un flocon, effaçant définitivement la mémoire de l’enfant. Profondément peiné, Chikao n’a plus goût à la vie, vieillit prématurément et son royaume perd toutes ses couleurs, devient blanc. Sa fille grandira sereinement auprès de Takechi qui l’épousera. Aïko ne se souvient de rien mais est très heureuse et sera comblée avec la naissance de sa fille Miyuki. Celle-ci aussi belle et radieuse que sa mère, fait pourtant des rêves étranges, de corbeaux, d’un royaume immaculéà
Miyuki saura-t-elle la vérité ? Le royaume de Chikao retrouvera-t-il ses couleurs ? Vous le saurez un lisant ce magnifique album, entremêlant savamment toute la richesse symbolique de son histoire à la sophistication limpide des ses images signées Judith Gueyfier. Un quasi conte philosophique qui fera se demander ce qu’est la nature du bonheur, le rôle de la mémoire dans celui-ci, ou bien la nécessité de dire la vérité quand celle-ci met fondamentalement en cause le bonheur de ceux que l’on aime.

Cette histoire se passe il y a bien longtemps, au cœur de la Chine du 16è siècle. Le talentueux prince Chu Ta, descendant royal de la dynastie des Ming, est promis à un brillant avenir. Mais l'arrivée des Mandchous au pouvoir vient tout remettre en question. Quittant le tumulte et les bouleversements de la ville, Chu Ta va alors, dans les montagnes, entre ciel et terre, à force de travail et de méditation, exprimer ce qu'il a au fond du cœur dans des peintures sublimes qui reflètent l'harmonie de la nature. Celui que l'on prit pour un fou était en fait une sorte de magicien ; et moi, le petit oiseau nommé Ta'O, j'en sais quelque chose ; j'ai eu la chance de naître de la main de ce prince devenu grand maîtreà
L’oiseau Ta’O nous invite à découvrir la vie du peintre Chu Ta. Intègre et passionné, Chu Ta avait décidé de ne plus parler ; son trait, concis et intransigeant, est le fruit des méditations de toute une vie, rejoignant la pensée zen puis taoïste de ce maître dont l’un des nombreux noms était « le montagnard aux huit Orients », qu’il signait de manière à allier deux caractères signifiant « celui qui pleure et celui qui rit ». Du monastère du Nuage Vert à la cabane qu’il baptisa « le Chant après l’éveil », il n’eut de cesse de perfectionner son travail pour se rapprocher de l’essentiel.

Un choix de contes merveilleux décrivant une quête : de l'amour, de la vérité, de la chance... Tous ces contes sont des voyages qui nous invitent à grandir et à nous émouvoir. Des contes plutôt longs, pour des 7 - 10 ans, venant toujours du monde entier (Afrique, Japon, Europe, Norvège, Egypte).

Wendy, John et Michael vivent heureux avec leurs parents, M. et Mme Darling. Chaque nuit, ils senvolent en rêve pour le pays de lImaginaire. Sur cette île merveilleuse peuplée de pirates, dIndiens et de sirènes, vit un enfant du nom de Peter Pan. Malicieux et intrépide, il est aussi le capitaine des garçons perdus. Mais surtout, il a décidé de ne plus jamais grandir pour pouvoir samuser sans répit.

- Le trésors de barbak-le-rouge
- La fiancée de Barbe-noire
- Le pirate poli
- Le coeur de cap'taine d'Acier
- L'effroyable destin de Raoul-la-moule

"Quand tu rencontreras ta future épouse, elle portera aux pieds de très jolis chaussons brodés, sur l'un on verra le dessin d'un dragon et sur l'autre celui d'un phénix." Voilà ce que le buffle a annoncé à son jeune maître, le bouvier. Alors, pour épouser la jeune fille aux chaussons brodés, le bouvier va affronter mille dangers et même la jalousie de la très cruelle Jade de Printemps. Mais dans la Chine des Contes, rien ne peut séparer des amoureux, et s'il le faut, ils deviennent étoile ou oiseau. Dans la Chine des Contes, les juges peignent parfois des très beaux éventails et savent faire parler les rochers. Les questions d'un enfant font pâlir de fatigue le très sage Confucius. Et malheur à celui qui essaie de faire mentir le gros Livre des Mariages où est consigné le destin de chaque garçon et de chaque fille.